Jeudi 05/05, départ de Bali à rebondissement
Comme prévu, mais avec un peu de retard, et un pressentiment pour Anne-Claire que quelque chose ne va pas, nous décollons de Bali. Tout va bien à bord sauf qu’au bout de quinze minutes de vol il nous semble que l’avion fait demi tour. Notre impression est confirmée. Le commandant de bord annonce qu’en raison de problèmes techniques, il retourne se poser à Denpasar.
Re-bonjour Bali, nous attendons dans l’avion au sol que des ingénieurs examinent l’avion et la décision tombe : il faut passer la nuit ici et nous repartirons demain matin après la réparation.
Tous les bagages sont déchargés et nous devons récupérer nos affaires dans un joli bazard. Nous demandons à laisser nos tandems à la garde de la compagnie aérienne, puis nous nous laissons guider par les évènements. Il faut lâcher prise et comprendre qu’on n’a plus la maîtrise de ce qui nous arrive. Nous laisser faire et faire confiance après avoir surmonté notre angoisse en vol.
Nous sommes conduits en bus dans un hôtel grand luxe, où nous allons nous régaler autour d’un buffet à volonté et nous partager deux chambres assez éloignées l’une de l’autre.
Alors pour ce soir, ce sera une chambre de filles une chambre de garçons. Les enfants sont ravis.
Vendredi 06/05
Malgré la sécurité et le confort qui nous entourent, nous, les parents, dormons mal. Nous sommes tendus et préoccupés par la suite des évènements. Le petit vélo dans la tête tourne à fond. L’horloge interne joue bien son rôle et nous réveille à temps. Nous trouvons un fax de la compagnie aérienne passé sous la porte de la chambre nous confirmant un vol pour ce matin 9 heures et nous indiquant un départ de l’hôtel à 7h30. Vite, tout le monde debout pour aller déjeuner. Vingt minutes pour goûter aux muslis, déguster multitude de fruits exotiques, savourer les viennoiseries pures beurre avant de manger une omelette baveuse entourée d’une farandole de saucisses et de tranches de bacon bien arrosée de jus de fruit, thé et chocolat. Bien rassasiés, nous chargeons enfin les affaires pour le transfert à l’aéroport.
Dans le bus, nous sommes tout à nos pensées : Il est bon de vivre d’amour et d’eau fraîche mais il n’est pas mauvais pour la santé morale de faire quelques écarts lorsque nous vivons des évènements stressants.
Et on recommence tous les passages de douane, enregistrement des bagages, etc…Léa et Tim sont calmes, se laissent porter par toute cette organisation dans laquelle nous sommes bien pris en compte.
La compagnie aérienne fait preuve d’un grand sérieux et d’un sens affirmé de responsabilité. Nous sommes très reconnaissants aux pilotes et à la compagnie pour les décisions qu’ils ont prises.
Avec une heure de retard et un avion pas plein, nous reprenons la voie des airs. Marc et Anne-Claire se détendent en regardant le film « Chocolat ». Que ça fait du bien. Léa et Tim adorent leur écran personnel et en profitent à fond.
Après 4 heures de vol, le pilote nous annonce l’arrivée à Hong Kong. Nous apercevons quelques gratte-ciels, au pied des montagnes et l’avion se pose. Nous nous demandons bien comment nous allons faire pour prendre la correspondance qui part dans…10 minutes.
Le staff de la compagnie aérienne nous attribue un autre vol pour Bangkok et un ticket repas. Nous avons deux heures avant de repartir, ce qui nous soulage et nous rassure pour le transfert de nos bagages et tandems.
L’aéroport de Hong Kong est immense, avec environ 3 kilomètres de longueur. Il nous faut prendre un rail pour gagner la nouvelle porte d’embarquement. Ouf, on y est et nous faisons le sujet de conversation des chinois autour de nous.
A bord, nous ne comprenons rien au chinois, ni à l’anglais parlé par les chinois, puis l’oreille s’y fait.
Le vol se passe bien, l’avion amorce la descente sur Bangkok quand soudain le pilote annonce qu’on ne peut pas se poser car l’aéroport est trop encombré. Il nous faut tourner en l’air. Cela nous laisse le temps de voir des zones de culture, et les premiers immeubles. Après environ dix minutes, nous pouvons atterrir.
Beaucoup de monde au contrôle de douane, chaque personne passe une par une et est prise en photo. Pour les bagages, tout est là, avec une petite déchirure au carton de Cassbizou. Après un petit colmatage, cet emballage refera bien l’affaire pour notre dernier vol. Un gain de temps et d’énergie très appréciable.
Nous trouvons rapidement un gros taxi et ne faisons pas les difficiles sur le prix. Le chauffeur semble avoir compris l’adresse de la « guesthouse » que nous avons réservée et il nous faut du temps pour l’atteindre. On quitte les grosses avenues pour atteindre la rue où nous devons aller. Marc nous fait beaucoup rire avec son anglais et une de nos phrases préférées est « is it possible to take your numéro de téléphone ? » dans la perspective d’un autre transport.
Nous sommes bien accueillis à l’auberge de jeunesse par des jeunes thaïs qui parlent anglais et sont bien dévoués. Ils nous proposent une grande chambre et non deux, ce qui nous convient mieux, avec clim et ventilateur, ce qui n’est pas considéré comme du luxe mais le nécessaire indispensable pour survivre en cette saison.
Samedi 07/05
La rue est calme et nous avons bien dormi. On joue avec la clim, on l’arrête quand il fait trop froid, on la remet, quand il fait trop chaud.
Nous partons en taxi à l’Alliance Française pour deux euros. Du vraiment pas cher.
Nous sommes impressionnés par cette mégapole aux autoroutes et avenues urbaines suspendues au milieu des immeubles et gratte-ciels, croisant le métro aérien. On ne sait plus ou donner de la tête.
A l’Alliance Française, nous sommes accueillis par le directeur de la médiathèque qui nous donne plein de tuyaux. Nous commençons à avoir une idée des visites que nous pourrons faire. Pendant ce temps, Léa et Tim savourent des BD et autres ouvrages, vautrés dans des poufs.
Nous achetons un livre pour chacun à la librairie de l’Alliance et le Guide du routard, bon complément du Lonely Planet.
De retour à l’auberge, nous allons manger au petit restaurant d’en face installé dans le garage de la famille. On y mange bien et pour pas cher (nouilles thaïes, riz thaï pour 20 baths le plat, c'est-à-dire 50 centimes d’euros, pas trop épicé de préférence). La femme nous offre des fruits un genre de pomme et de la mangue, et offre aux enfants un petit chocolat et un crayon.
Dimanche 08/05
Nous partons pour visiter les temples. Là aussi, traversée de Bangkok en taxi et la joie des embouteillages.
Nous arrivons devant le Wat Phra Kaeo et le Grand Palais.
Haut lieu touristique de Bangkok, nous sommes noyés parmi les autres touristes.
Nous sommes impressionnés par tous ces temples, le chédi doré, qui cache le sternum de Bouddha, le Wat Phra Kaeo lui-même ou chapelle royale, qui abrite la statuette le Bouddha d’émeraude.
Les offrandes sont somptueuses car c’est un lieu de prière et de vénération de Bouddha.
Personne ne doit pointer du pied la statue, ce qui est considéré comme une insulte suprême. Beaucoup d’autres édifices, temples autour desquels on se promène.
Le palais lui-même ne se visite pas, ce qui nous déçoit beaucoup. Nous pouvons seulement en longer une partie.
Du coup, nous décidons de jouer les touristes asiatiques et de nous photographier avec les gardes puisqu’il n’y a rien d’autre à faire. Si c’est pas belu !
Nous quittons ce palais sous un soleil de plomb et trouvons refuge à l’ombre d’un marché comme il y en a des dizaines dans cette ville immense. Des petits étals qui vendent de tout, le coin de la restauration où nous trouvons à manger.
Mais Léa n’est pas à l’aise dans ce type d’ambiance : Il y a beaucoup de gens, certains faisant de la mendicité. Les odeurs typiques de la cuisine asiatique se mélangent à d’autres odeurs nauséabondes, parfois difficiles à supporter.
Il faudra un peu de temps pour nous y adapter. Au travers de cette foule grouillante, nous nous frayons un passage entre les étalages de nourriture et les vendeurs d’œufs durs et de disques
durs, afin de gagner un autre ensemble de temple, le What Pho.
C’est là que nous pouvons admirer le célèbre Bouddha couché.
Un peu à l’étroit dans son temple, il mesure 45 mètres de long et 15 mètres de haut. Il est en plâtre recouvert de feuilles d’or et ses pieds sont incrustés de nacre.
La visite est bercée d’un tintement continu, le bruit des pièces de monnaies jetées dans des chaudrons en métal, en guise d’offrandes. Ambiance unique.
Puis, nous déambulons autour des chédis recouverts de céramique, superbe avec des flèches hautes et fines, au milieu des autres temples, l’un abritant un Bouddha debout, l’autre un Bouddha assis, des galeries de Bouddha qui n’en finissent plus.
L’endroit est paisible et verdoyant, une musique de fond donne de la couleur.
L’orage a rafraîchi l’atmosphère, un homme nous aide à écrire l’adresse de notre prochaine destination où nous décidons de nous rendre en tuk tuk. La course est un peu folle. Il se faufile entre les voitures, les bus et les scooters. On s’accroche dans les virages où le tuk tuk nous donne l’impression qu’il va chavirer à tout instant. On est plus en sécurité sur nos tandems !!!
On a demandé au conducteur de nous emmener à un magasin de vélo et voici qu’il nous dépose devant un hôtel ! Problème de traduction ? De compréhension mutuelle ? Une jeune femme thaïe parlant anglais nous vient en aide et nous repartons une rue plus loin. Il y a bien un magasin de vélo mais qui ressemble plus à un garage. Nous ne pouvons pas rester là. Nous demandons encore au tuk tuk de nous déposer à Kao San Road.
Au moment de payer il nous réclame plus que convenu. Nous essayons de maintenir le prix mais il ne veut rien savoir et commence à s’énerver et à ne plus sourire, ce qui ne ressemble plus au comportement des thaïlandais. Nous rajoutons 20 baths pour qu’il ait ce qu’il réclame et nous la tranquillité.
Nous parcourons cette rue, trop touristique à notre goût, pour tenter de trouver des livres d’occasion en français. Nous n’emporterons pas Harry Potter, trop volumineux et lourd pour nos sacoches.
Lundi 09/05
Ca y est Marc est malade et sera suivi de très près par Léa, puis Anne-Claire, puis Tim. Gros rhume, mal de tête, nez qui coule. Ah la clim, quand on vous dit qu’on n’aime pas ça mais qu’on ne peut pas s’en passer !!! Comment faire ?
Nous partons de nouveau pour braver les embouteillages de Bangkok en taxi et cette fois ci, le chauffeur parle quelques mots d’anglais. En parlant football avec Marc, ils n’ont aucun problème pour se comprendre : les noms des joueurs sont connus dans le monde entier.
Nous arrivons alors à la maison de Jim Thompson, une merveille !
Jim Thompson est un américain, venu s’installer à Bangkok en 1946, pour relancer l’industrie de la soie, qu’il fit connaître à New York. Il fit fortune et se fit construire cet ensemble de maisons traditionnelles occidentalisées par ses soins (ajout de salon, salle à manger, couloirs).
Six maisons en teck ont été démontées dans leur région d’origine, et reconstruites au milieu d’un jardin luxuriant, en plein Bangkok. Ce sont des maisons en trapèze sur pilotis, reconstruites au bord du chenal qui servait de voie d’approvisionnement pour la soie.
De salle en salle nous découvrons une collection d’objets d’art de tout beauté : vaisselle, statues de Bouddha, sculptures, porcelaine, peintures provenant de toute l’Asie. Dommage qu’il soit interdit de les photographier !
Nous profitons d’une visite guidée en français et les enfants d’un cours d’origami pour apprendre à faire un oiseau.
Un vrai émerveillement dans un havre de calme et de paix…on s’y installerait volontiers et il nous est difficile d’en partir.
Nous gagnons à pied un des centres commerciaux modernes. Là aussi, où donner de la tête ? Où aller tellement c’est immense : huit étages sur des centaines de mètres carrés. Il nous faut un peu de temps pour comprendre où nous mènent les escalators mais nous y arrivons.
En revanche, pas de quoi faire des courses alimentaires, il nous faudra aller ailleurs.
Pour le retour à l’auberge, aux heures de pointe, nous optons pour le métro aérien. C’est simple, et assez rapide. Nous descendons au terminus, et découvrons un grand supermarché, « Tesco Lotus » où nous faisons nos achats.
Le passage par cette station de métro aérien est un choc violent. Nous nous retrouvons confrontés à la misère, la grande pauvreté et aux graves handicaps. Des hommes à l’allure physique monstrueuse sont exposés ou s’exposent sur le trottoir. C’est violent. Les enfants ont peur et en sont choqués.
Nous retrouvons notre « chez nous » du moment avec soulagement. Un débriefing et beaucoup de câlins sont nécessaires pour les réconforter et les rassurer.
Mardi 10/05
Aujourd’hui, nous partons à la rencontre de Soumeth, un homme passionné de vieilles voitures. Il a créé avec son beau-frère un musée à une quarantaine de kilomètres de Bangkok. Il parle très bien le français car il vit une partie de son temps en France. Nous avons rendez-vous à son bureau.
C’est là qu’il nous accueille, avec son beau sourire et de l’eau fraîche. Il nous présente Wii, sa secrétaire, que nous pourrons solliciter en cas de besoin.
Puis nous partons en voiture tous les 5, direction le musée. A Nakhon Chaisri, nous nous arrêtons en bord de rivière pour déjeuner.
Endroit bucolique, calme et pittoresque. Excellent déjeuner.
Au musée sans tarder il nous présente la 2 CV qu’il affectionne tout particulièrement. Ils ont organisé l’an dernier la route de l’Asie avec Tractions Sans Frontières. Un passionné.
Soumeth nous montre un appartement où nous pourrons loger et laisser nos affaires pendant notre virée en tandem.
Il nous présente Bee, la manager du musée et toute l’équipe. Petit tour au garage où sont mises en état les voitures.
Nous pourrons utiliser la 2 CV à notre guise pour visiter les environs.
Il est temps de rentrer à Bangkok. Soumeth nous dépose à son bureau où nous faisons la connaissance de Jesada, le patron, son beau-frère. Ils nous offrent un tee-shirt chacun.
Wii nous accompagne à l’embarcadère de la rivière Chao Phraya (une des artères principales de la ville) pour prendre le bateau. La nuit tombe et les berges s’illuminent. Beaucoup de monde à cette heure de pointe mais intéressant.
Nous descendons à l’arrêt qui nous permet d’accéder au métro aérien pou rentrer à l’auberge.
Mercredi 11/05
Aujourd’hui on déménage. Il est onze heures. Nous attendons le gros taxi du premier jour, que Soumeth nous a aidé à réserver, pour quitter Bangkok et gagner le musée.
Nous passons par la gare pour réserver nos billets afin de gagner Chiang Mai en train de nuit dans une semaine.
Deux heures de route éprouvantes car il fait très chaud. La clim du taxi fonctionne mal et nous roulons aux heures les plus chaudes. Léa est sur les genoux de sa mère à l’avant, Tim sur ceux de son père à l’arrière. On se tient chaud !
Nous arrivons soulagés de pouvoir nous installer dans notre nouveau 3 pièces avec clim dans une chambre.
Nous retrouvons Soumeth au garage, occupé avec ses mécanos à essayer de démarrer une méhari.
Nous faisons un convoi avec cette voiture et la 2 CV pour aller chercher de l’essence. Bonjour au superbe varan occupé à traverser la route.
Nous découvrons dans les échoppes du village du satay de porc (brochettes), du riz avec poulet, des fruits de mer en papillote de feuilles de bananier, un gros pamplemousse.
Ce soir, Léa est malade et le thermomètre affiche plus de 40°C. Elle souffre de la chaleur. Nous gérons avec ce que nous avons. Les enfants ne trouvent pas le sommeil avant un long moment pour cette première nuit au musée.
Nous nous attaquons à remonter les deux tandems en dégoulinant de toute notre sueur.
Jeudi 12/05
Matinée de repos pour les enfants et de réflexion sur la suite du voyage compte tenu des distances et du climat actuel en Thaïlande. Nous avons l’impression de devoir réduire à une peau de chagrin nos déplacements en tandem et nos projets de visite. Nous avons gagné un peu de sagesse et nous renonçons à une balade sur le Mékong, à une visite du parc national de Khao Yai, ainsi qu’à la petite île de Ko Ang Thong, au sud, dont nous avions rêvé.
L’après midi, armés du plan de Bee et d’une traduction de l’adresse en thaï, nous partons en 2 CV à Nakhon Pathom visiter le plus grand chédi de Thaïlande.
La dedeuche nous replonge dans de lointains souvenirs de jeunesse. Cela amuse beaucoup les enfants.
Nous avons l’impression d’être au volant d’un véhicule extraterrestre, qui attire le regard et les sourires comme lorsque nous sommes sur les tandems.
Elle roule bien cette dedeuche et se fond dans la circulation qui demande l’attention de toute la famille.
Nous sommes déçus de trouver les terrasses circulaires, tout autour du chédi, en grande rénovation. Toutefois, le chantier n’empêche pas la visite. On imagine combien ce lieu peut être serein et propice à la méditation.
L’orage nous surprend au bon moment alors que nous visitons une grotte.
Nous retrouvons des traces de la pluie à l’intérieur de la 2 CV, ça va nous rafraîchir.
Ce soir, nous dînons dans l’espace réservé au personnel du musée pour profiter de la vaisselle et du four pour réchauffer notre riz. Nous regagnons l’appartement en faisant attention de ne pas écraser les crapauds nombreux après cette pluie.
Léa a moins de fièvre et commence à mieux supporter la chaleur. Tim s’inquiète de savoir s’il y aura beaucoup de dabous à voir demain. Nous comprenons qu’il parle des bouddhas.
Vendredi 13/05
Aujourd’hui, avec la 2 CV nous partons visiter le marché flottant de Damnoen Saduak à environ 70 kilomètres.
Quelques révisions de tables de multiplication, un peu de présent et de plus que parfait puis nous arrivons à bon port. Pas besoin de chercher pour la suite des évènements. Une femme nous accoste et nous accompagne pour un tour en pirogue.
Et c’est parti, on embarque tous les quatre à la découverte de ce marché flottant. Les fruits sont délicieux : bananes, ananas, mangues, coco, gros pamplemousses. Les embouteillages sont plutôt pittoresques contrairement à ceux sur la route.
On fait tout sur une pirogue même la cuisine et la vaisselle…avec l’eau saumâtre du canal ! Bof. Moment pittoresque et unique.
Après une heure de pirogue nous allons manger dans un stand du riz et des pâtes.
Sur le chemin du retour, la sieste s’impose pour les passagers, bercés par le moteur de la 2 CV. Quelques séances photos devant des monuments et nous voici de retour.
Nous profitons de l’après-midi au musée pour nous reposer, faire des mails, mettre en ligne les diaporamas sur Bali.
Demain, nous partons en tandem pour gagner Ayuthaya à environ 120 kilomètres de là.